Bienvenue à Berlin. - Merci, c'est génial d'être ici. - Je dois vous dire quand nous étions assis dans la première rangée il y a quelques minutes seulement quand le rythme cardiaque était là Jeff m'a regardé et je respirais et expirais et il m'a regardé et a demandé: «Matias, tu es nerveux? " J'ai dit: "Oui, je suis toujours nerveux dans des occasions comme ça." Et il a dit: "Moi aussi."
J'ai dit: "Vraiment?" L'homme le plus riche du monde est nerveux "parce qu'il reçoit le Prix Axel Springer?" Soyez donc un peu indulgents, nous sommes tous les deux nerveux. Jeff, nous sommes si heureux de vraiment te célébrer ce soir. Plus important encore, en dehors de toutes les raisons que nous avons entendues parce que vous êtes un modèle pour d'autres jeunes fondateurs, des entrepreneurs qui ont vraiment de bonnes idées, des idées folles, des idées non conventionnelles et qui ont besoin d'encouragement pour simplement le faire et y aller et vous l'avez montré à le monde.
C'est donc vraiment, pour moi, la chose la plus importante et dans ce contexte la première question, vous travailliez à New York en tant que banquier d'investissement. Ainsi, un banquier d'investissement est en fait exactement le contraire d'un entrepreneur, il délègue le risque à d'autres personnes et, fondamentalement, comment avez-vous découvert ou comment avez-vous pensé que vous devriez passer de la banque d'investissement pour vraiment lancer une entreprise? - Je pense que j'ai toujours voulu le faire depuis que je suis enfant, j'ai eu l'idée, chaque fois que je regarde quelque chose, on dirait que ça pourrait être amélioré, il y a quelque chose qui ne va pas alors je passe par là comme comment ce restaurant est mieux, donc j'ai toujours eu ce genre d'idée.
Soit dit en passant, avant d'entrer dans le vif du sujet, que diriez-vous de cette production incroyable que vous et votre équipe avez réunie? C'est vraiment incroyable pour son originalité comme ces boites que vous filmez en live c'est tout simplement super cool alors merci. (applaudissements du public) C'est vraiment incroyable. Mais je pense que la grande chose au sujet des humains en général est que nous améliorons toujours les choses. Et donc les entrepreneurs et les inventeurs, ils suivent leur curiosité et ils suivent leurs passions et ils trouvent quelque chose, puis ils trouvent comment l'améliorer et ils ne sont jamais satisfaits. Et vous devez exploiter, à mon avis, vous devez exploiter cette énergie principalement sur vos clients plutôt que sur vos concurrents. Et donc je vois parfois des entreprises et même de jeunes petites entreprises en démarrage, des entrepreneurs, aller
de travers si elles commencent à prêter attention à leurs concurrents qu'à leurs clients et je pense que dans les grandes industries matures qui pourraient être une approche gagnante dans certains cas, sorte de suivre de près, laissez les autres être les pionniers et descendez les alliés aveugles, il y a tellement de choses qu'une nouvelle entreprise inventive essaie de ne pas fonctionner et donc ces erreurs et erreurs et échecs coûtent vraiment de l'argent. Et donc peut-être dans une industrie mature où les taux de croissance sont lents et les changements très lents. Mais comme vous le voyez de plus en plus dans le monde, il n'y a pas beaucoup d'industries matures, le changement se produit partout.
Vous le voyez dans l'industrie automobile avec des voitures autonomes, mais vous pourriez descendre dans la ligne de chaque industrie et vous le verriez. - Avez-vous une idée d'où vient vraiment votre ambition? Qu'est-ce qui vous motivait? - Je ne sais vraiment pas. Je suis passionné par certaines choses depuis toujours et je suis tombé amoureux des ordinateurs en quatrième année. J'ai eu beaucoup de chance. Mon école primaire avait un téléscripteur qui était connecté à un ordinateur central auquel une entreprise du centre-ville de Houston a également donné un peu de temps.
C'est-à-dire que vous pouvez imaginer ces télétypes, ils avaient la bande perforée et ils avaient un modem 300 bots, vous composeriez le téléphone, vous le mettriez dans le berceau. Et donc nous avons eu un peu de temps pour partager cet ordinateur central et aucun des enseignants ne savait comment l'utiliser, certains et deux autres enfants sont restés après l'école et ont en quelque sorte compris comment le faire, l'ont compris et nous ont en quelque sorte appris la programmation à partir de livres. Je pense qu'une chose est que j'ai eu beaucoup de chance au début de mon enfance. Écoutez, nous recevons tous des cadeaux, nous obtenons certaines choses dans notre vie dont nous sommes très chanceux et l'un des plus puissants est de savoir qui sont vos premiers modèles. - [Matias] C'était ton grand-père. - C'était dans un grand sens. Ma maman et papa mais mon grand-père aussi. Ma mère m'a eu quand elle avait 17 ans et elle était encore au lycée à Albuquerque, au Nouveau-Mexique et c'est en 1964.
Je peux vous assurer qu'être une adolescente enceinte au lycée ne refroidissait pas Albuquerque, au Nouveau-Mexique à cette époque. C'était donc difficile pour elle. Mon grand-père est allé la battre, ils ont essayé de la renvoyer de l'école, ils sont incroyables. Donc, le cadeau que j'ai eu, c'est que j'avais cette incroyable famille. - Pourriez-vous décrire un peu le rôle de votre grand-père? Parce que John l'a mentionné et je pense que c'était vraiment important. - C'était super important pour moi et j'ai passé un temps inhabituel avec mes grands-parents, surtout avec mon grand-père au ranch. Il avait donc un ranch dans le sud du Texas et j'y passais mes étés de quatre à 16 ans. Et quand je
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